Franck Dimech
Théâtre de Ajmer - Marseille
création en lien avec Laurent de Richemond (acteur)
un projet de Franck Dimech
avec Pascal Farré, Olivier Horeau, Catherine Jauniaux, eRikm, Peggy Péneau,
Laurent de Richemond, Sandrine Rommel, Barbara Sarreau
à propos du spectacle Shadoks Forever voir aussi :
presse et témoignages / références
Nés du génie de Jacques Rouxel, créateur atypique et protéiforme, les Shadoks sont les héritiers d’une tradition irrévérencieuse qui, de Jarry à Artaud en passant par Dada et les pataphysiciens, fait aujourd’hui encore, résonner son rire moqueur. Derrière ces drôles d’oiseaux, occupés à pomper sans relâche, se cache une série télévisée qui a scindé la France en deux dès les tout premiers épisodes diffusés par l’ORTF en 1968.
Deux camps – "les imbéciles qui aimaient et les imbéciles qui n’aimaient pas", selon Pierre Desproges – allaient s’affronter en inondant la chaîne d’un flot de courriers passionnés. Les Shadoks, pas consensuels pour un sou, ont durablement marqué l’imaginaire collectif français. C’est cet esprit-là que Franck Dimech, entouré d’une équipe survoltée, compte faire resurgir au théâtre dans une cosmogonie shadokienne respectée à la lettre. L’univers sonore si particulier du dessin animé sera revu par le duo eRikm / Catherine Jauniaux qui usera en live de ses outils de prédilection, entre électro, impro et détournement d’objets.
Nous nous délecterons de la langue shadok (composée des quatre éléments interchangeables GA, BU, ZO, et MEU), nous rirons des péripéties de ces étranges volatiles dont les moins malins passeront au Goulp (trou creusé dans le sol). Un rire un peu jaune sans doute car, au-delà de la farce, les Shadoks donnent à voir le visage d’un système mécanicien total, absurde et broyeur de vies. Et nous pourrions bien voir des Shadoks partout.
Buzo meu Gaga zo bu gabuzo bu Meugaga zo meumeu gazobu zo Bubu-Gaga.
Zo Meugaga gazomeu zoga, meu zobuzo zo bu Gazo-Gazo Zogabuzo : Ga bubuga, zo meumeu zo ga zobu... MEUZO !!
Meubu zo bubu ga Zozo meu Zobu ?
Bubu-Gaga ga buga zobu, buzo gazo bubuzobu zo meumeu, zobuga zoga zozo bubu.
Zozo bubu gagazo bu zogaga meu... Bubu-Zobu !
Bubu-Zobu zo buga meu bubu, meu gabu ga meugazobu...
Zo Meugaga zobu ga zo gaga bu zozo ? ZO ! gabuzo Bubu-Gaga.
Bu gaga zobu meu BU meumeu, gazo bu zo gabubu zo Buzo
Gabugabu ga meu zobu !! meu gabu ga Buzo meu Gaga
Ga zo Buzo meu Gaga ga meu zozo, meuzo ga meu zobu !!
GAGA, GAGA, MEUZOBU ZO « BUZO MEU GAGA » !!!!!
professeur Shadoko
par Franck Dimech - metteur en scène
« C’était il y a très très très longtemps. A droite, il y avait la planète Shadok, à gauche la planète Gibi, et au centre, la terre occupée par un horrible parasite dénommé « Insecte-Gégène ». Parce que leurs planètes respectives ne marchaient pas bien, les Shadoks et les Gibis ont lorgné du côté de la terre et ont décidé de la coloniser ».
Les Shadoks de Jacques Rouxel furent diffusés à la télévision française (ORTF) à partir de 1968. Les Shadoks qui pompaient représentaient la France. Une France qui travaille, stakhanoviste jusqu’à l’absurde et condamnée à revenir toujours au même point. Le principe élémentaire de cette société était la soumission. Têtes bêches, les Shadoks suivaient un chef et glorifiaient une constitution dont voici quelques exemples :
« Je pompe, donc je suis. Il vaut mieux pomper d’arrache-pied même s’il ne se passe rien que risquer qu’il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas. Ce n’est qu’en essayant continuellement que l’on finit par réussir. Autrement dit : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche. A force de taper sur rien, il finit toujours par en sortir quelque chose, et réciproquement. »
On ne peut que remarquer la proximité manifeste qu’il existe entre les préceptes Shadoks et les slogans des politiques d’aujourd’hui :
Travailler plus pour gagner plus...
Il y a la France d’en bas et la France d’en haut...
Je veux être un Président normal...
N’en doutons pas, les plus hautes instances de l’administration française ont pompé les Shadoks...
Les Gibis (GB), coiffés d’un chapeau melon télépathique, représentaient, quant à eux, la culture anglo-saxonne. Démocratie fondée sur le principe de jouissance (Sexe, LSD et Rock’n roll), la société Gibi, viscéralement progressiste, célébrait le culte communautaire, comme les hippies de la fin des années soixante.
Le projet de Jacques Rouxel entendait mettre en rapport ces deux logiques, sans jamais en privilégier aucune.
Dès lors, il appartenait à chacun de s’identifier à l’une ou l’autre et de choisir son camp. Art dégénéré pour les uns (les conservateurs, de droite et de gauche, y ont vu, soit une propagande capitaliste, soit la tribune des manifestations de mai 68), objet culte pour les autres, les Shadoks ont coupé la France en deux.
Dans cette célébration quotidienne d’environ deux minutes, chacun était ravi ou ulcéré par le texte, l’image et le son. Soit que l’un de ces éléments était toujours de trop, soit que l’ensemble était une injure, au point que Madame Pompidou, Première Dame de France, ait dû publiquement défendre l’intrinsèque valeur artistique de cette série.
Effarés, comme des lapins surpris par les phares d’une voiture en rase campagne, les français ont eu peur des Shadoks. Insidieusement, touche par touche, il remontait à la surface de cette mythologie, la mémoire d’une France passée sous cape, nauséabonde, colonialiste, celle, entres autres, des antidreyfusards, de la rafle du Vel d’Hiv, de Vichy et de la guerre d’Algérie. Les Shadoks ont mis à vif les plaies de l’inconscient collectif français.
Pourtant, les Shadoks ne sont pas bêtes. S’ils l’étaient, ils se contenteraient de brouter l’herbe en regardant passer les trains...
Mais ils produisent, ils conquièrent, ils conceptualisent, ils détruisent, ils ambitionnent. Les Shadoks sont des idiots : la bêtise est égoïste quand l’idiotie a une valeur sociale. En témoignent les fous du moyen-âge ou l’idiot du village qui errait entre les tombes des cimetières (une figure récurrente des films de Fellini).
Boucs émissaires et tortionnaires à la fois, ils mettent en perspective les travers du pouvoir. On en rit ou on cogne dessus. Ils sont les fossoyeurs d’un monde invisible ; sorciers, ils nous rappellent, comme l’acteur, à notre condition humaine, à notre être zéro, à notre cruauté primaire, dérisoire autant que monstrueuse.
Il y a une tradition française de l’idiotie dans laquelle s’ancre l’oeuvre de Jacques Rouxel. On pense à « Bouvard et Pécuchet » de Gustave Flaubert, à la musique d’Erik Satie, au cinéma de Pierre Etaix, aux ready-made de Marcel Duchamp et, plus proche encore, au journal satyrique Ara-Kiri ou aux installations de Gilles Barbier. Héritiers revendiqués de la pataphysique d’Alfred Jarry, les Shadoks ont contribué, au même titre que les émissions de Jean-Christophe Averty, à l’invention d’une télévision débridée, impertinente et prodigieusement créative.
En exhumant ce morceau de mémoire collective pour le faire passer dans le champ du théâtre, le projet « Shadoks Forever » entend ranimer un esprit subversif et populaire, qui déroge avec la pensée ultra-libérale ambiante et le règne de la publicité.
Franck Dimech, 1er août 2012.
par eRikm - musicien, performeur
Quoi de plus évident pour un metteur en scène et un compositeur de la même génération (génération X), de proposer une version théâtrale et musicale des Shadoks ?
Grâce aux Shadoks, notre enfance a été bercée par l’absurde et souvent l’incompréhension, cela interrogeait le sens même de ce que la génération d’alors (soixante-huitarde) pouvait nous transmettre comme règle (ment). Les Shadoks représentait cette allégorie sociétale et politique, ainsi qu’une réelle alchimie entre son et image.
Mon choix qui consiste à partager ce projet dans sa dimension musicale avec Catherine Jauniaux, chanteuse avec laquelle je me produis sur scène depuis 1996, me semble essentiel.
Catherine Jauniaux, avec sa voix improvise des personnages, elle leur donne vie le temps d’un souffle. Dans ses performances vocales différentes identités phonatoires surgissent, des langues et phonèmes s’inventent. Faiseuse d’ange(vin) jusqu’à l’éther, Catherine sera une Gibi charismatique. Une forme de dialectique est à réaliser entre le chant, l’électronique improvisés et la création d’un dictionnaire phonatoire, auquel nous nous référerons. Il révélera des espaces sensibles allant de l’absurde au burlesque. Ce dictionnaire créera une articulation entre une forme théâtrale (il ne s’agit pas de théâtre musical ou d’objet) et une forme musicale en accord avec ma pratique et en lien avec l’esprit de Pierre Schaeffer, dont l’ingéniosité (directeur du service de la recherche de l’ORTF de 1961 à 1975) reste aujourd’hui vivace.
La re-visitation du monument civilisationnel Shadoks originellement en deux dimensions, prendra je l’espère, une dimension autre que le fantasme cinématographique en 3D, qui sous le feu d’un déluge technologique, s’assied de toute sa masse industrielle sur le moindre espace critique.
Une devise Shadock, dans l’écho d’une bouteille de Klein :
« S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème. »
eRikm - 6 juin 2012
PRESSE
Diversion Magazine - Rédaction - 6 novembre 2013
Les Shadoks, de drôles d’oiseaux créés par Jacques Rouxel en 1968, ont enchanté chaque soir petits et grands à la télévision. Véritable phénomène de société, ces volatiles à longues pattes, qui possédaient leur propre univers et leur propre système social, par ailleurs inventeurs d’improbables machines, sont aujourd’hui remis au goût du jour, non pas à la télévision mais sur un plateau de théâtre. Voilà bien un endroit où l’on ne s’attendait pas à rencontrer les Shadoks, auxquels le Théâtre de Ajmer, dirigé par Franck Dimech, redonne vie dans sa pièce Shadoks Forever. Sur scène il y a d’abord le récitant, central dans la série originale puisque c’est lui qui nous compte les aventures de nos Shadoks, interprété par la chanteuse belge Catherine Jauniaux, qui joue aussi l’un des Gibis, légendaires adversaires des Shadoks. L’autre Gibi, c’est le musicien eRikm. On trouve bien sûr aussi les Shadoks, joués par cinq comédiens.
Derrière l’univers apparemment absurde des Shadoks et de leur ennemis les Gibis, se cache pourtant une critique habile de la société de l’époque. Comme l’univers sonore des Shadoks, agressif, radical, le ton de la série jouait fortement de l’ironie voire du cynisme.
« Grâce aux Shadoks, notre enfance a été bercée par l’absurde et souvent l’incompréhension, cela interrogeait le sens même de ce que la génération d’alors soixante-huitarde pouvait nous transmettre comme règle(ment) », explique eRikm. « Les Shadoks représentait cette allégorie sociétale et politique, ainsi qu’une réelle alchimie entre son et image ».La musique et le son constituent d’ailleurs une dimension essentielle du spectacle. Les Shadoks s’exprimaient en effet dans une langue bien particulière, au moyen de quatre syllabes pour tout vocabulaire « Ga, Bu, Zo, Meu » sur lesquelles s’est basé eRikm. Catherine Jauniaux et lui se sont également inspirés de la bande originale de Robert Cohen-Solal.
Shadoks Forever n’est cependant pas du théâtre musical, mais plutôt l’articulation sur une même scène des dimensions théâtrale et musicale, pour retranscrire au final, l’oeuvre absurde et drôle de Jacques Rouxel. Il faut dire que Franck Dimech cite volontiers Alphonse Allais et Alfred Jarry, sans oublier le mouvement Dada dans son ensemble, pour définir Les Shadoks.
À la base, il y a cette histoire que l’on ne connaît que trop bien dans notre monde réel. Deux communautés voisines, chacune voulant prendre le pouvoir sur l’autre, retranscription en deux dimensions de nos propres travers humains. Les Shadoks, dépourvus de tout sentiment amoureux, peuvent d’ailleurs difficilement être qualifiés de héros, copiant – en vain – les machines sophistiquées de leurs voisins Gibis, au contraire joyeux et intelligents. Les Shadoks se voient en outre affublés d’ailes tellement petites que leurs tentatives d’envolées se soldent systématiquement par de minables chutes sur la terre ferme.
« Notre adaptation en convoquant le théâtre, la musique et la danse tentera de rendre compte, sur la scène, de l’amalgame des moyens auquel s’est livré Jacques Rouxel à l’écran », explique Franck Dimech. Perdu entre les deux planètes, l’insecte-Gégène est interprété par une danseuse. La pièce souhaite retrouver l’esprit feuilleton du dessin animé original. D’autant que Shadoks Forever fera également intervenir les fameuses machines que l’on pouvait voir dans la série, « machineries imbéciles » selon Franck Dimech, ce dernier nous promettant également des costumes « du plus mauvais goût » !
Bienvenue dans le monde des Shadoks.
Diversion Magazine - Rédaction - 6 novembre 2013
par laurent de Richemond - acteur
Nous débarquons ici pour conquérir la terre
Mais tout ce qui s’y trouve nous semble déplacé
Nous sommes des Shadoks, nous ne manquons pas d’air
Nous bâtirons la terre selon nos volontésNous charrions des pierres pour construire notre camp
Face aux odieux Gibis qui nous regardent tant
Ils ne nous parlent pas mais font de la musique
Ou déclament des textes de manière pathétiqueLes Gibis sont mauvais parce qu’ils nous aiment bien
Comme une série télé dont le monde se souvient
Mais nous sommes des Shadoks nous sommes bien réels
On va vous enculer ça vous donnera des ailesAprès avoir posé notre propre frontière
Nous faisons débarquer notre arsenal de guerre
Nous sommes terrifiants, nous sommes des Shadoks
Tout le bordel qu’on mène, tout ça n’est pas du tocToute cette activité nous laisse démunis
On a alors conscience qu’on est bien sur la terre
Mais je vois cette terre remplie de gros Gibis
Il faut pomper, je crois, il n’y a que ça à faireOn est là comme des cons avec nos sacs plastiques
Il est hors de question de se rendre pathétiques
Comme pour une plantation on va vider nos sacs
Après ce préambule on passera à l’acteNous voulons tous agir mais nous sommes stimulés
Par ces affreux Gibis qui veulent nous forcer
Nous devons nous choisir un chef incontesté
Celui-ci se détruit à force de volontéNous nous retrouvons tous sous la loi des Gibis
On veut faire des choses mais rien ne se produit
Les Gibis nous emmerdent ils font de la musique
On voudrait bien parler mais je crois qu’ils nous niquentAprès le chef shadok je veux frapper ma tête
Pour oublier - mon dieu - à quel point je suis bête
Après je vais tester un peu mon maléfice
Si ça ne marche pas je tenterai « la glisse »Mais ces affreux Gibis contre nous sans arrêt
Nous imposent des choses contre nos volontés
On doit toujours agir sans forme de procès
Je crois qu’a un moment je vais me révolterJe vais faire l’oiseau pour pouvoir respirer
Et pour trouver aussi de la sérénité
Je chasserai ainsi tous les mauvais esprits
Qui nous sont imposés par ces affreux GibisEt puis aussi je me passerai de la crème
Sur mon gros ventre, ce gros ventre que j’aime
Et puis après tout ça j’appliquerai la méthode
Cette méthode Shadok qui n’est pas à la modeJe cherche le résultat et l’efficacité
Je crois qu’ça à raté, je suis en train d’gerber
Et puis comme un jouet, je suis comme possédé
Je n’arrive rien à faire selon ma volontéJe veux rendre un hommage à nos fameux ancêtres
Qui nous ont succédés, exhumés sur la terre
Nous voudrions leur plaire, du moins leur ressembler
Nous sommes des horreurs sans culpabilitéNous sommes des Shadoks odieux et impuissants
Nous ne savons que faire à part montrer les dents
Et puis on vous emmerde, on veut faire du bruit
J’espère que ça ruinera la carrière des GibisTout ce discours est beau mais que ce monde est moche
On ressent au plus vite le besoin de la pioche
On veut détruire tout ce qui se présente à nous
Votre monde est vulgaire, on le détruit c’est toutLes Shadoks sont odieux mais ils sont fraternels
Ils savent reconnaître les choses de l’éternel
Ils se tiennent la main et savent vous faire face
Et ils chantent gaiement du Enrico Macias
«poème du déroulé» — Laurent de Richemond — juin 2013
Je haïs le sport ! Je haïs tous les sports, et depuis toujours.
C’est une répugnance instinctive chez moi, qui remonte à loin.
« Sportif » est à mes yeux, une insulte.
La stupidité du muscle intensif, le crétinisme de la force, la niaiserie de l’exercice méthodique, la sottise de la performance, l’optimisme absurde du dépassement de soi... Mais l’insanité suprême c’est le rêve sportif absolu de la grande fraternité des peuples ; qui se traduit automatiquement sur le terrain par son contraire radical, c’est-à-dire par le chauvinisme le plus sordide.
Le sport est le moteur essentiel de cette société disneylandisée ; cette dictature qui contraint aux loisirs !! Qui songerait à se révolter contre une oppression qui ne communique, au fond, que l’ordre de s’amuser ?
Une grande entreprise de dressage est en route, rien ne l’interrompra !
Ce qui nous reste de civilisation est en train de se transformer en un gigantesque club de musculation.
L’humanité s’achève en survêtement Adidas !!
d’après Philippe Murray - Les Olympiades de la Terreur - Désaccord Parfait
(proposé et adapté par Laurent de Richemond)
première adaptation du texte des Shadoks par Didier da Silva :
Diaporama Photos - Shadoks Forever - CDN Besançon - Novembre 2013 :
Teaser Interview Franck Dimech + Extraits Vidéo - Shadoks Forever
CDN Besançon - Novembre 2013 :
Shadoks Island une vidéo de Didier da Silva
aller et retour à l’île du Frioul — festival MIMI 2013, le 4 juillet — spectacle Shadoks Forever
(Musique : György Ligeti, Musica ricercata n°7, con moto giusto — Karl-Hermann Mrongovius, piano)
eRikm et Catherine Jauniaux - extrait d’un concert
Catherine Jauniaux / eRikm | Musiques Libres 2010 par asproimpro
« Les Shadoks » de Jacques Rouxel - toutes les vidéos
Les Shadoks - Série 1 - Episodes 1 à 5 par Sebmagic
Les Shadoks - Série 1 - Episodes 6 à 10 par Sebmagic
Les Shadoks - Série 1 - Episodes 11 à 15 par Sebmagic
Shadoks 01-02 Saison 2 par IceFinger
Shadoks 203 saison 2 épisode 3 par IceFinger
Shadoks 204 saison 2 épisode 4 par IceFinger
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Shadoks 213 saison 2 épisode 13 par IceFinger
Shadoks 214 saison 2 épisode 14 par IceFinger
Shadoks 215 saison 2 épisode 15 par IceFinger
« Shadoks Forever »
un projet de Franck Dimech
d’après « Les Shadoks » de Jacques Rouxel
avec :
Pascal Farré, Olivier Horeau, Catherine Jauniaux, eRikm, Peggy Péneau, Laurent de Richemond, Sandrine Rommel, Barbara Sarreau
adaptation : Didier da Silva et Franck Dimech.
mise en scène : Franck Dimech.
musique : eRikm.
décor et lumières : Sylvain Faye et Franck Dimech.
costumes : Chantal Rousseau.
assistante : Anne-Lise Paquien
Coproduction Théâtre de Ajmer-Marseille, Centre Dramatique National Besançon Franche-Comté, A.M.I Aide aux Musiques Innovatrices de Marseille. Avec la soutien de la région et de la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, du département des Bouches-du-Rhône, de la ville de Marseille de l’ADAMI et de la SPEDIDAM.